Pensée du mercredi 14 novembre 2001

Vous soufflez violemment sur une branche fleurie : les …

14/11/2001

Vous soufflez violemment sur une branche fleurie : les pétales s'envolent dans tous les sens, il ne reste plus rien de cet ordre, de cet agencement subtil qui en faisait toute la beauté. Eh bien, c'est ce que vous faites aussi lorsque vous vous laissez aller à la colère, la jalousie, la cupidité, la sensualité : vous produisez un souffle, un courant qui trouble la disposition harmonieuse des atomes et des électrons en vous. C'est la perturbation de cette organisation intérieure qui est à l'origine des maladies psychiques, ou même physiques, et qui finit par vous couper du monde spirituel. C'est pourquoi, lorsque vous éprouvez un trouble, un malaise ou que vous vous sentez traversé par un courant négatif, adressez-vous à vos cellules. Dites-leur : " Allons, apaisez-vous, je vous envoie des ondes d'harmonie et d'amour, soyez obéissantes, reprenez sagement votre travail. " Ne laissez jamais un état négatif s'installer en vous, tâchez d'y remédier immédiatement.